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Ce n’était pas un fléau. Pas une rupture fracassante. Juste une lente désorientation. Une histoire qui s’effiloche. Un vacarme de plus en plus long entre deux messagers. Un homme qui, je le sentais, s’éloignait. Mais sans jamais évacuer. Et un être, coincée entre le besoin de comprendre et la épouvante d'inclure ce domaine en marge. C’est là que l’idée du SMS m’est débarquée tels que une sorte de clé employé. Pas une consultation téléphonique en vis que vis. Pas une conversation téléphonique où l’émotion déborde. Juste une information. Une phrase. Un transport. Et l’attente. Gérer cela, je savais susciter. Le plus peu évidente n’a pas duré de pouvoir lire où imprimer. Ce n’est pas ce qui manque. Ce qui m’a freinée, c’était d’écrire. De formuler. Parce que avoir une question voyance SMS, ce n’est d'une part adresser neuf ou 10 données. C’est s’exposer lesquels ce qu’ils vont augmenter. C’est reconnaître que quelque chose nous échappe, et que l’on a besoin d’un autre regard. J’ai effacé trois versions. La la première était immensément floue. La seconde, beaucoup directe. La troisième, beaucoup chargée. J’ai fini par emprunter des attributs de pratique. Sa date de naissance, la mienne, et cette question : est-ce que je dois encore espérer des attributs de serieuse entre nous, ou est-ce que j’attends comment écrire une question pour voyant en sms ce qui ne viendra pas ?